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Le problème de l’UE, ce n’est pas la Belgique, mais Trump – POLITICO


“Il ne faut pas prendre au sérieux les propos de sources anonymes qui n’ont pas assisté à ces discussions”, a rétorqué Anna Kelly, porte-parole adjointe de la Maison-Blanche. “Le seul objectif des Etats-Unis est de ramener la paix dans ce conflit […]. Les Ukrainiens et les Russes ont tous deux clairement exprimé leurs positions concernant les avoirs gelés, et notre seule tâche est de faciliter des échanges qui peuvent in fine déboucher sur un accord.”

Mardi, alors que les négociations battaient de l’aile, les responsables et les dirigeants de l’UE ont de plus en plus évoqué l’arme de destruction massive : faire adopter le prêt destiné à financer les réparations à la majorité qualifiée, c’est-à-dire ignorer les objections de certains pays et aller de l’avant malgré tout. Mais certains responsables publics pensent que cette option déchirerait une Union déjà fracturée et risquerait de la plonger dans une véritable crise.

Une autre solution consiste, pour certains pays, à proposer simplement des prêts bilatéraux limités.

“Il est important que la Belgique participe” à l’accord, “mais on verra”, a déclaré la Première ministre lettonne Evika Siliņa à POLITICO mardi. “Si c’est [un vote à la majorité qualifiée] la seule [option], pourquoi pas ?”

“Il est important que l’UE montre sa force et sa capacité à prendre des décisions fortes, car nous y travaillons depuis longtemps déjà et nous avons promis à l’Ukraine de l’aider avec des ressources financières — et les avoirs gelés sont vraiment une bonne source”, a-t-elle poursuivi.

Et Evika Siliņa d’ajouter : “Pour la Belgique, je pense que je ne souhaite pas qu’elle devienne la deuxième Hongrie.” POLITICO a rapporté la semaine dernière que des diplomates avaient averti que la Belgique, en restant récalcitrante à l’accord sur les avoirs russes, risquait d’être isolée dans le processus décisionnel de l’UE.





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